Carla Bruni: une première dame qui ne vote pas
Il y en à que ça ne choquera pas.
Comme l'ex première dame de France Cécilia Sarkozy, qui cachait mal qu'elle ne voulait surtout pas voter pour son ex futur mari de président, Carla Bruni n'est donc pas allé voter au minicipales au motif qu'elle ne s'était pas inscrite sur les listes électorales comme elle en avait la possibilité en tant que ressortissante de l'Union Européenne.
En tant qu'individividu, ne pas s'inscrire sur les liste électorales est son droit le plus stricte. Mais en tant que femme du chef de l'état français - le chef d'état le plus puissant d'Europe par ses pouvoirs - Carla Bruni à démontré qu'elle n'a pas saisi que les privilèges liés à son statut s'accompagnent de devoirs.
Que représente de devoir de voter (ou au moins de s'inscrire comme votant) par rapport à la reconnaissance et au train de vie fastueux que lui permet de mener la république, autrement dit le contribuable? Rien. Il lui suffisait de demander à un sous-fifre de la cour de la faire à sa place pour ne pas passer pour une ingrate.
C'est désormais chose faite.
Alors que des milions d'euros ont été employés à inciter les jeunes et les moins jeunes à s'inscrire sur les listes électorales, alors que tous les hommes politiques et les observateurs s'accordent à dire que le taux de participation et plus encore le taux d'inscription est le premier marqueur de l'attachement des citoyens à la vie démocratique du pays, madame Bruni-Sarkozy ne s'abstient même pas de voter, elle "oublie" de s'inscrire comme on oublie de dire "merci" lorsqu'on vous couvre de cadeaux.
Carla Bruni est pourtant la première épouse de président a avoir autant voulu incarner cette fonction, à avoir tout fait pour le devenir, jusqu'à avouer que l'attrait qu'elle avait éprouvé pour Nicolas Sarkozy était lié au fait qu'il incarnait le pouvoir.
Qu'elle ne s'étonne pas si le "petit peuple" qui voit en elle un princesse la prenne en grippe si elle continue à ignorer des devoirs aussi maigres que ses omoplates de mannequin pour seulement jouir sans entrave des fastes de la cour. Marie Antoinette et Cécilia, elles au moins, n'avaient jamais rêver d'en gouter les charmes.
"Les français sont tous des ringards..."
Heureusement pour elle, dimanche soir, sur les mornes plateau TV ou l'on égrainais les résultats des municipales, le caractère choquant de cette information n'a été relevé par personne.
Comme l'ex première dame de France Cécilia Sarkozy, qui cachait mal qu'elle ne voulait surtout pas voter pour son ex futur mari de président, Carla Bruni n'est donc pas allé voter au minicipales au motif qu'elle ne s'était pas inscrite sur les listes électorales comme elle en avait la possibilité en tant que ressortissante de l'Union Européenne.
En tant qu'individividu, ne pas s'inscrire sur les liste électorales est son droit le plus stricte. Mais en tant que femme du chef de l'état français - le chef d'état le plus puissant d'Europe par ses pouvoirs - Carla Bruni à démontré qu'elle n'a pas saisi que les privilèges liés à son statut s'accompagnent de devoirs.
Que représente de devoir de voter (ou au moins de s'inscrire comme votant) par rapport à la reconnaissance et au train de vie fastueux que lui permet de mener la république, autrement dit le contribuable? Rien. Il lui suffisait de demander à un sous-fifre de la cour de la faire à sa place pour ne pas passer pour une ingrate.
C'est désormais chose faite.
Alors que des milions d'euros ont été employés à inciter les jeunes et les moins jeunes à s'inscrire sur les listes électorales, alors que tous les hommes politiques et les observateurs s'accordent à dire que le taux de participation et plus encore le taux d'inscription est le premier marqueur de l'attachement des citoyens à la vie démocratique du pays, madame Bruni-Sarkozy ne s'abstient même pas de voter, elle "oublie" de s'inscrire comme on oublie de dire "merci" lorsqu'on vous couvre de cadeaux.
Carla Bruni est pourtant la première épouse de président a avoir autant voulu incarner cette fonction, à avoir tout fait pour le devenir, jusqu'à avouer que l'attrait qu'elle avait éprouvé pour Nicolas Sarkozy était lié au fait qu'il incarnait le pouvoir.
Qu'elle ne s'étonne pas si le "petit peuple" qui voit en elle un princesse la prenne en grippe si elle continue à ignorer des devoirs aussi maigres que ses omoplates de mannequin pour seulement jouir sans entrave des fastes de la cour. Marie Antoinette et Cécilia, elles au moins, n'avaient jamais rêver d'en gouter les charmes.
"Les français sont tous des ringards..." Heureusement pour elle, dimanche soir, sur les mornes plateau TV ou l'on égrainais les résultats des municipales, le caractère choquant de cette information n'a été relevé par personne.